Le Conseil d’Etat a statué en référé. Il a considéré que « les discothèques présentent des risques de contamination propres » et qu’aucune mesure autre que la fermeture, ni même la réouverture en format bar de nuit, ne peut apporter de garanties équivalentes pour maitriser le risque de contamination ». La requête des organisations de discothèque est ainsi rejetée.